Témoignage 156 sur 225 dans l'affaire du meurtre Narges Achikzei
Famille
Dans une déclaration très émouvante dans la salle d'audience hier, Haroen a décrit les dernières minutes de l'amour de sa vie, Narges. J'ai tout de suite conduit jusqu'à Zeist. Ça ne pouvait pas être bon. Au Geroflat, il voit des camions de pompiers et des policiers. Il ne veut qu'une chose. A la plus belle femme de sa vie, Narges. Il l'entend encore l'appeler par son nom. Il ne la voit qu'au centre des brûlés de Rotterdam. Brûlé à 80 %. Elle était tout pour moi. J'ai vécu pour elle. Gardez-la en vie, j'ai crié aux médecins. Pour que je puisse te dire combien je l'aime. Mais sa vie ne peut plus être sauvée. Ils ont dû la laisser partir. Je me suis assis la tête au pied du lit d'hôpital et j'ai regardé le moniteur cardiaque. Son cœur battait encore, pour moi. J'ai regardé jusqu'à ce qu'il n'y ait plus qu'une ligne droite pour voir
Derniers messages
-
Eerwraak in Teheran: Moordenaar veroordeeld tot drie jaar gevangenisstraf
-
Eerwraak in Zehlendorf, Duitsland: Man steekt ex-vrouw dood
-
Man doodt vrouw en man in Gilan, Iran
-
Vrouw doodgeschoten voor de ogen van haar 4-jarige zoontje in Rijswijk
-
Eerwraak in Darrehshahr, Iran: 17-jarig meisje vermoord door haar vader
-
Eerwraak in Swat, Pakistan: Vrouw en drie dochters vermoord
-
Eerwraak in Gwalior, India: Vader wurgt zijn dochter
-
Femicide in Sib en Soran, Iran: Man vermoordt echtgenote en schoonmoeder
-
Eerwraak in Bhanpura, India: Vader gearresteerd voor moord op zijn dochter
-
Eerwraak in Khorasan Razavi, Iran: twee zussen vermoord